Pourquoi la Commission de Surveillance Financière soutient-elle l'assurance vie ? Raisons clés révélées : le rapport semestriel devient le champ de bataille

Pour aider l'industrie de l'assurance vie à se connecter sans encombre d'ici 2026, la Commission de Surveillance Financière a annoncé trois mesures le 12 :
- Adoption de la moyenne semestrielle du taux de change pour calculer le RBC, lissant ainsi les fluctuations à court terme.
- Augmentation du ratio de réserve responsable d'un point et ajustement des tableaux de mortalité, libérant des réserves excédentaires vers des réserves de change.
- Introduction d'un plan de constitution de réserves de change, accompagné d'un plan de soutien pour renforcer la robustesse opérationnelle.
Ces mesures visent à augmenter le RBC du rapport semestriel de l'industrie de l'assurance vie, à renforcer les réserves de change pour mitiger les pertes et à sauver les bénéfices. La commission a indiqué que les opérateurs doivent estimer le montant pouvant être libéré, à faire signer par des actuaires et confirmé par des comptables. Ils doivent également proposer un « Plan d'Ajustement pour l'Amélioration de la Résilience », que la commission approuvera avant de permettre l'utilisation des fonds.
Actuellement, les entreprises d'assurance vie doivent atteindre un RBC de 200 % pour bénéficier d'une remise de transition de 15 ans dans le cadre du système TW-ICS, ce qui fait du « rapport semestriel » un champ de bataille essentiel pour cette transition. La directrice Wang Li-hui du Bureau des Assurances a souligné que le rapport semestriel est le point de déclaration pour la transition, et que les entreprises doivent clairement définir leurs orientations et plans futurs d'amélioration.